LES MOTEURS DE COMPÉTITON
La majorité de ces moteurs est à admission périphérique. En version atmosphérique, la puissance au litre est d'environ 200 ch. En version turbo la puissance au litre est de 300 à 400 ch. Si vous vous voulez gonfler votre moteur, gardez ces valeurs en tête. Ce sont des moteurs conçus pour durer 3000 à 5000 km.
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1968 : Moteur 10A, tout alu, utilisé par la Cosmo 110S au Marathon de la route, une des voiture prenant la 4° place, 130 ch à 7000 tr/mm.
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Fin 1968 : Moteur 10 A , capable de 204 ch. Utilsé par la R100 à 187 ch à 8500 tr/mm à Spa Francorchamps en juiller 1969 (5° et 6°)
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1972 : Moteur 12 A, 240 ch à 9000 tr/mm
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1973 : Moteur 12 A, + de 250ch à 9500 tr/mm.
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1976 : Moteur 13B, + de 290ch à 9000 tr/mm, 311 ch en 1979 à 11000 tr/mm avec une injection mécanique Lucas.
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1983 : Moteur 13B, injection K-Jetronic Bosh. Environ 330 ch
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1984 : Moteur 13B, birotor, double turbo. Plus de 500 ch à 8000 tr/mm.
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1984 à 1989 : Moteur 13G, trirotor, 450 ch à 8500 tr/mm.
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1988 : Moteur 13J, quadrirotor. Plus de 500 ch à 8500 tr/mm.
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1989 : Moteur 13J, quadrirotor. Plus de 630 ch à 9000 tr/mm. Trompettes à longueur variable à 2 positions
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1991 : Moteur R26B, quadrirotor vainqueur au Mans. Plus de 700 ch à 9000 tr/mm. Trompettes à longueur continûment variable
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Dessin du moteur illustrant le fonctionnement des trompettes
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